Que tu veuilles dénoncer le crime ou pas, il y a plusieurs organismes pour t’aider, t’écouter et t’informer.
C’est gratuit et confidentiel. Contacte-les!
Que tu veuilles dénoncer le crime ou pas, il y a plusieurs organismes pour t’aider, t’écouter et t’informer.
C’est gratuit et confidentiel. Contacte-les!
Pour les personnes qui pensent au suicide ou qui s’inquiètent pour un proche
Jeunesse, J’écoute est là pour t’écouter, sans jugement, peu importe le moment de crise ou de besoin dans lequel tu te trouves.
Le service est offert aux personnes âgées de 20 ans et moins. Tu peux les contacter par téléphone ou par Internet, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, en français et en anglais.
Les CAVAC sont là pour toi, même si ça fait longtemps que le crime a été commis. Ils peuvent t’accompagner tout au long du processus judiciaire, t’aider au niveau post-traumatique et psychosocial et t’informer sur tes droits et recours.
Les CAVAC sont partout au Québec. Appelle-les pour savoir où est le centre le plus près de chez toi.
Interligne est là pour toi si tu as besoin d’un soutien psychosocial, de renseignements ou si tu souhaites être accompagné pour ton coming out. Interligne peut aussi se déplacer à ton école pour sensibiliser les autres élèves aux réalités LGBTQ+.
Le service est offert 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, par téléphone, texto et Internet.
Pour les personnes concernées par la diversité sexuelle et la pluralité des genres
Les Équijustice offrent des services aux jeunes contrevenants et aux victimes d’actes criminels commis par des adolescents dans la province de Québec. Ils travaillent entre autres avec le directeur provincial (DPJ) dans le cadre de l’application du programme de sanctions extrajudiciaires.
Pour trouver l’organisme Équijustice le plus près de chez toi, visite leur site web.
Les organismes de justice alternative (OJA) offrent des services aux jeunes contrevenants et aux victimes d’actes criminels commis par des adolescents dans la province de Québec. Ils travaillent entre autres avec le directeur provincial (DPJ) dans le cadre de l’application du programme de sanctions extrajudiciaires.
Pour trouver l’organisme de justice réparatrice le plus près de chez toi, visite leur site web.
SOS violence conjugale offre des services d’accueil, d’évaluation, d’information, de sensibilisation et de soutien.
Tu y trouveras de l’aide 24 h sur 24, 7 jours sur 7.
Au bout du fil, tu y trouveras une oreille pour t’écouter ainsi que de l’information et des références pour y voir plus clair.
Le service est offert 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
Ce site donne des conseils pratiques pour t’aider à reprendre le contrôle de la situation. Il va t’expliquer comment contacter les sites et les services Internet pour demander le retrait de la photo ou de la vidéo diffusée.
Pour les jeunes qui ont une photo ou une vidéo à caractère sexuel qui circule sur Internet.
Cyberaide.ca est l’endroit pour signaler les cas de pornographie juvénile sur Internet.
En cas de signalement, Cyberaide.ca fera le lien avec les services policiers et les agences de protection de l’enfance partout au Canada.
Tu peux également y retrouver des règles de sécurité à suivre pour te protéger de ce fléau.
Une médiation, c’est une discussion entre le contrevenant et la victime. Cette rencontre, qui est en fait une discussion, leur permet de s’exprimer et d’avoir des réponses à leurs questions.
La médiation est une mesure de réparation. Ça permet au contrevenant, mais aussi à la victime, de s’impliquer et de prendre le contrôle sur la situation qui les concerne.
C’est un organisme qui, entre autres, accompagne les contrevenants, les victimes, leurs parents et même la collectivité dans le processus de réparation.
Si tu es impliqué dans une mesure de réparation, un intervenant d’Équijustice ou d’un organisme membre de l’ASSOJAQ va communiquer avec toi.
On l’appelle aussi « PPCP ». C’est l’avocat qui porte des accusations contre les personnes que l’on soupçonne d’avoir commis un crime. Lors d’un procès, c’est à lui de présenter la preuve pour prouver hors de tout doute raisonnable que l’accusé est coupable.
Quand un ado commet un crime qui n’est pas trop grave, la police peut lui éviter d’aller au tribunal en lui donnant une mesure extrajudiciaire. Elle peut choisir de lui donner un avertissement ou de l’envoyer vers un organisme de justice réparatrice. Elle peut aussi choisir de ne rien faire.
L’événement sera tout de même inscrit dans une base de données accessible pendant 2 ans par tous les policiers du Québec.